On vous l'a dit: il n'y a aucune raison de le faire.ideacogito a écrit :Peut-on se recentrer sur le vrais sujet : Doit-on tenir compte d'un mind reading ?
Vos monologues poético-confus ne sont pas des contre-arguments bien solides.
Jean-François
On vous l'a dit: il n'y a aucune raison de le faire.ideacogito a écrit :Peut-on se recentrer sur le vrais sujet : Doit-on tenir compte d'un mind reading ?
5/ : pourquoi faire de ce principe une exception ? Pourquoi devrait-il bénéficier d'un traitement de faveur ?5/ Partie du texte qui expliquerait qu'il n'y a pas de technologies en sciences exactes permettant de mettre en évidence cette "transmission, réceptivité et interaction", qu'il n'est pas nécessaire d'attendre une évolution des sciences dites exactes pour aborder le sujet, qu'il s'agirait d'une exception qui confirme le principe que l'on ne doit se baser que sur ce qui est démontrable et indéniable.
(...)
10/ Aucun texte officiel ne précise que cette capacité n'est pas réelle, il aurait pu être écrit : "Ce que nous percevons en nous-même, ce qui s'y forme reste notre pensée personnelle qui n'est ni perçue, ni observée, ni dirigée, ni censurée."
Il n'est pas fait mention non plus de coordination de pensée à pensée.
Vous les avez posés, ok. Maintenant, comment comptez-vous prouver qu'il y a au moins des raisons valables de s'interroger sur l'existence de ce phénomène ?ideacogito a écrit :Le postulat et hypothèse que je propose porte sur des interactions de réceptivité et de transmission des percepts psychique sans même que nous en ayons conscience, nous y serions très habitué.
Apprenez donc à faire une citation correcte. Dans le cas de la théière, vous omettez la première partie de la phrase ce qui n'est pas négligeable:ideacogito a écrit :Je n'ai rien contre le fait que l'on puisse me reprendre surtout si je fais des progrès significatif
Russell vise surtout les religions basées sur des textes anciens ("cette théière" à la place de "Dieu") mais cela peut être valable pour des superstitions comme la croyance en la télépathie ("cette théière" remplaçant "la télépathie"). En d'autres termes, si on tient à faire ce genre de parallèle un peu daté (en occident du moins), il faut considérer les croyants en la télépathie comme du côté des inquisiteurs.Il s'agit d'une remise en cause du dogme actuel « la télépathie n'existe pas » qui vaudrait au sceptique les soins d’un psychiatre à une époque éclairée, ou de l’inquisiteur en des temps plus anciens. Galilée en fit les [frais]
ideacogito a écrit :1er exercice.
De Carl Sagan – pas de lien connu avec Françoise Sagan – était astrophysicien.
Le dragon dans le garage de Carl Sagan et Ann Dryuand
[citation du texte]
[lien vers cet article]
Si nous sommes convaincu.es que cela n'existe pas alors cette réceptivité reste inhibé et nous en serions influencé au niveau de nos association d'idée et de l'inspiration ?
Si la vie psychique est autarcique il s'agit alors de nos contenus mémoriels intime et rien d'autre.
ideacogito a écrit : La théière de Russell
... alors toute hésitation à croire en son existence deviendrait un signe d’excentricité et vaudrait au sceptique les soins d’un psychiatre à une époque éclairée, ou de l’Inquisiteur en des temps plus anciens.
Il s'agit d'une remise en cause du dogme actuel « la télépathie n'existe pas » qui vaudrait au sceptique les soins d’un psychiatre à une époque éclairée, ou de l’inquisiteur en des temps plus anciens. Galilée en fit les frets.
Je me pose aussi la même question, si on est parfaitement convaincu de la non-existence de quelque chose est-ce qu'alors la partie de notre cerveau qui s'occupe d'amener à notre conscient de l'info n'inhiberait pas naturellement certains détails ?idéacogito a écrit :Si nous sommes convaincu.es que cela n'existe pas alors cette réceptivité reste inhibé et nous en serions influencé au niveau de nos association d'idée et de l'inspiration ?
Ca va permettre à LouV de mieux vous comprendre.ideacogito a écrit :oui, c'est bien moi chaussel21
Plein de gens sont persuadés de ne pas être affectés par l'abus d'alcool pourtant nous devenons tous un peu chiant voir très chiant après deux bouteilles de vin.Mireille a écrit : Je me pose aussi la même question, si on est parfaitement convaincu de la non-existence de quelque chose est-ce qu'alors la partie de notre cerveau qui s'occupe d'amener à notre conscient de l'info n'inhiberait pas naturellement certains détails ?
Moi, j'ai surtout compris que votre danse des idées manque autant de cohésion que de lignes directrices.Pouvez-vous me confirmer ce que vous avez compris et ce que vous connaissez déjà ?
Richard, tu fais vraiment pic pic là ...richard a écrit :Mais tu ne vois pas qu'il n'a pas toute sa raison!
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