Il ne s'agit pas la de faire confiance à du blabla rhetorique religieux, mais à un protocole et une méthodologie.
Il ne s'agit plus du tout d'une croyance dans le sens de la foi. Mais bien de l’adhésion et de la confiance (forme de croyance) à une batterie de filtre qui fait que parler de croyance dans le sens religieux du terme n'est plus trop valable. A la limite on peut parler de croyance quand on sais devoir adhérer à des choses qui évoluent sans cesse et ne sont pas absolue, mais c'est plus vraiment de l'ordre de la croyance aveugle et de la foi...et on est à des années lumières de la croyance classique : on s'integre dans un processus de test, de doute, de remise en question dans un cadre scientifique donnée avec une méthodologie intelligible et vérifiable par tous.
On est loin de Dieu ou des super-pouvoirs de Bouddha. Très loin.
On ne parle tellement plus du même genre de croyances...
Voit ça comme un dégradée, un continium, ou il existe des zones asses vastes on sais de quoi on parle, le savoir, sans être absolues et qui sont souvent réductibles et encadrée par des limites interprétatives, et par des limite liée à épistémologie (comme la notion de réalité vs description du réel, le contexte, le type de dicipline, etc). Et des zones vestes on on sais qu'il n'y à rien de testé, voir de la fanfaronnade. Mais qu'entre les deux il peut y avoir sur un certain territoire quelques débat épistémologique.
Perso je me plait à imaginez ce continum plus comme un paysage, avec du relief, que comme une simple bande.
PS : D'ailleurs, le stress est reconnue comme ayant des effets, et la méditation aussi. C'est pas nouveau.
Surprise...
