Et si dur de donner un ou deux exemples ?Dash a écrit : ↑20 juil. 2020, 09:21 Alors quand Kraepelin dit que l'argument soulevé derrière les campagnes de dénonciation est l'impossibilité pour les femmes victimes de violences sexuelles d'obtenir justice, c'est parce que c'est ce qu'on entend et lis ici et là et c'est, surtout, ce qu'on constate concrètement.
Kraepelin a dit un message juste avant
"On [le devoir] va jusqu'à y dénoncer la "liberté d'exprtession" et la "présomption d'innoncence", ces deux monstres qui protègent encore les "facistes" et les "agresseurs sexuels"."
Et je ne trouve nulle trace de ça dans la vidéo qu'il dit, toi non plus.
C'est trop demandé que d'avoir des sources appuyant ce que vous dites ?
Est ce que vous avez quelques témoignages de victime ayant dénoncé quelqu'un publiquement car elle estimait qu'elle était dans l'impossibilité d'obtenir justice.
Si au moins vous faisiez votre partie du boulot contradictoire, on pourrait vérifier :
- si c'est bien ce qu'elle dit
- si c'est la seule raison évoquée
- si d'autres victimes nuance ou contredise ce point de vue.
Mais en s'en fout, c'est pas la question.
La question c'est combien de victime dénoncent des gens publiquement car ils pensent qu'elles sont dans l'impossibilité d’obtenir justice.
Si c'est 2% d'entre elle, l'argument de K prétendant qu'elle se trompe il vaut quoi ?*
T'es dans la pétition de principe.
Le but n'est pas de se faire justice, pour ça on va en justice, le but est de libérer la parole publique.
Tout l'argumentaire basé sur la chasse aux sorcières, au lynchage public et autres comparaison est fallacieux.
Il ne réponds pas à la problématique, ces femmes parlent avant tout dans le but qu'on les écoute, c'est dingue de devoir argumenter pour faire comprendre un truc aussi simple.
C'est le fond du problème.
* déjà qu'il vaut pas grand chose, si on a le sentiment qu'on ne sera pas cru devant une cour, ça peut être justifié par un environnement remettant en cause la parole des victimes plus que par une non prise en compte de la justice.