


Croyez moi que quand le fascisme sera advenue je serai pas sur des forum à jour les Monsieur obvious...mais plutot dehors en train de ratonner les consensuel mou draper de leut drapeau etoilé.
En d'autres termes, vous êtes un fasciste haineux et violent. Et vous trouvez ça valorisant
Sauf si ce sont les nazis de l’orthographe qui arrivent au pouvoir.
C'est au ras des pâquerettes, comme argument. Avec le consensus mou qu'il représente, ce drapeau est sans doute le moins taché de sang actuellement dans le monde. Est-ce que ça vous manque tant que ça?Spartacus a écrit : ↑19 mai 2020, 10:54 ce lambert, si ce n'est pas un bot rémunéré par la commission, est donc une personne qui choisit de draper son avatar par le drapeau de l'ue....enfin vous voyez deja le niveau de beaufitude, à peine plus "rationnel" qu'un fouteux avec son écharpe de club, et donc qui passe son temps ici à débiter ce qui se fait de plus consensuellement mou ?
Voici une étude se rapportant à l'épidémie influenza de 1969-70 dans laquelle on détermine - suite aux autopsies - que la moitié des victimes ont subi des embolies :Cartaphilus a écrit : ↑09 mai 2020, 13:04Je vous suggère de joindre les auteurs de cette étude pour leur conseiller de réécrire l'article, puisque vous semblez connaître mieux qu'eux la conclusion qu'il faut apporter à leurs travaux.julien99 a écrit : ↑09 mai 2020, 11:39« may trigger «Cartaphilus a écrit : ↑09 mai 2020, 08:14Pour mémoire : « In particular, coronavirus infections may be a trigger for venous thromboembolism, and several pathogenetic mechanisms are involved [...] »(extrait du même article).
Ce « may » est déjà de trop.
Identique ? Avec les mêmes images tomodensitométriques, les mêmes lésions histologiques, les mêmes valeurs biologiques — et les mêmes résultats à la PCR, bien que je sache que vous en récusez la moitié.
Peut-être deviez-vous (re)lire l'excellent article que vous avez donné...Je pense que vous faits allusion au Dr Claus Püschel, médecin légiste à Hambourg, qui minimise le rôle du SARS-CoV-2 dant les décès des personnes infectées :Diantre ! Toutes les personnes infectées avaient des comorbidités ... Ce qui ne correspond pas à la réalité.Alle, die wir bisher untersucht haben, hatten Krebs, eine chronische Lungenerkrankung, waren starke Raucher oder schwer fettleibig, litten an Diabetes oder hatten eine Herz-Kreislauf-Erkrankung. (Source)
Toutes les personnes que nous avons examinées jusqu'à présent ont eu un cancer, une maladie pulmonaire chronique, ont été de gros fumeurs ou gravement obèses, ont souffert de diabète ou ont eu une maladie cardiovasculaire. [Traduction DeepL]
Inutile de dire que sa position n'est pas partagée par tous en Allemagne, et selon Karl Lauterbach (homme politique, médecin et épidémiologiste) :Püschel verharmlost Covid-19. Fast alle über 65 Jahre haben Vorerkrankungen, 50% der über 50 Jährigen. Wer von dieser Gruppe stirbt wissen wir nicht. Aber es kann jeden treffen. Die Überlebenden haben oft Dauerschäden. Kein Spezialist teilt seine Haltung
Puffs banalise Covid-19 : presque tous les plus de 65 ans ont des conditions préexistantes, 50% des plus de 50 ans. Nous ne savons pas qui, dans ce groupe, est en train de mourir. Mais cela pourrait être n'importe qui. Les survivants ont souvent des dommages permanents. Aucun spécialiste ne partage son point de vue [Traduction DeepL]
Il y a plusieurs aspects. Les soins retardés pendant le confinement :Comme exemple inverse, je considère que le confinement en France (voir dans la majorité des pays) est la solution la moins létale, toutes considérations faites.
Mais les gouvernements ne prennent pas leurs décisions qu'a partir d'une seule variable : nombre de morts.
Un exemple, pour faire – très, très – simple : en abaissant la vitesse à 30 km/h autour d’une école, on fait baisser le taux de mortalité mais on perd aussi du temps, et donc, de l’argent. Fixer un prix sur la vie permet alors d’estimer, économiquement, les gains qui seront tirés de cette décision, par rapport aux pertes qu’elle induit.
Comment ça marche ?
La valeur de la vie est une notion utilisée en philosophie et en économie pour les êtres vivants, spécialement pour les cultures humaines. Transposer la valeur d'une vie humaine en monnaie se heurte à des tabous sur la mort et l'argent mais permet d'évaluer l'efficacité des politiques de prévention[1].
Sommaire
Évaluation statistiqueModifier
D’un point de vue statistique, la valeur d’une vie humaine peut être évaluée en terme monétaire (prévention des risques, assurance, etc.), au moyen du coût marginal des mesures de prévention. Ces travaux d’évaluation sont utilisés en médecine, en travaux publics (aménagement des réseaux de transport, etc.) et surtout en politique pour évaluer l’impact de dépenses, d'investissements ou de réglementations publiques sur le risque décès, les autorités publiques déterminant le budget optimal à consacrer à chaque projet par une analyse avantages-coûts.
Cette évaluation fait l’objet d’une littérature académique théorique et empirique abondante[2],[3],[4]. Les études s'appuient sur la notion de capital humain mesurant la valeur d’une vie humaine à partir de sa contribution au bien-être de la société. Cette valorisation se calcule ainsi en termes de revenu et de production et de probabilité de vivre jusqu’à un certain âge. Une autre approche consiste à évaluer la disposition à payer (en) (concept formulé par Jacques Drèze (en) en 1962[5], montant qu’une personne est prête à payer pour diminuer son exposition au risque[6].
En se basant sur les résultats de ces études[7], le rapport de l’OCDE en 2012 recommande d'utiliser une valeur statistique de la vie (VVS) de référence entre 1,5 million et 4,5 millions USD (USD de 2005) pour les pays de l’OCDE ou pour l’UE-27, et autour de 3 millions d’euros pour la France[8].
Valeur d'une vie statistique humaineModifier
La valeur d’une vie statistique[9] (ou valeur d’une fatalité évitée) est le consentement à payer d’un individu pour une réduction marginale de son risque de mortalité. Cette valeur correspond à ce qu’un individu est prêt à payer pour une réduction à la marge d’un risque mortel :
{\displaystyle {VVS}={\frac {CAP}{r}}}
où {\displaystyle CAP} est le consentement à payer d’un individu pour une réduction {\displaystyle r} de la probabilité de décès. Par exemple, si un individu annonce qu’il consent à payer 2 000 € pour la réduction de 5/10 000 à 1/10 000 de la probabilité de décès, on en déduit une VVS égale à {\displaystyle {\frac {2000}{0,0004}}=5000000}€
Ce que la société est prête à dépenser pour sauver une vie statistique diffère de ce que des individus seraient prêts à dépenser pour épargner une vie identifiée.
Analyse coût-bénéfices et valeur de la vie statistiqueModifier
Les critiques de l’ analyse coût-bénéfices[9] s’attaquent souvent à cette mesure de la valeur d’une vie statistique, la qualifiant d’indécente. Selon ses partisans[Qui ?], cette mesure est implicite dans tout investissement public en matière de sécurité (routière, sanitaire), ainsi que dans toute réglementation concernant les produits toxiques (qualité de l’eau potable, qualité de l’air dans les zones urbaines, etc.) et l’ACB permet de rendre plus transparents les arbitrages qui sont réalisés entre coût d’une mesure et impacts sur la vie des citoyens.
Les VVS généralement utilisées dans les analyses coût-bénéfices sont largement supérieures à celles généralement constatées pour la compensation d’un accident mortel du travail ou d’un accident de la route
Les anglais n'avaient pas voulu confiner à temps. Leurs hôpitaux ont donc été surchargés et certaines personnes âgées ayant besoin de soins urgents sont sans doute décédées. Cela n'expliquerait en rien la surmortalité énorme au Royaume-Uni....some of these “excess deaths” might be the result of underdiagnosis... "Some of these deaths may not have occurred if people had got to hospital,” he said. “How many is unclear.
Sans oublier le Pérou.Le Brésil a dépassé pour la première fois 1.000 morts en 24 heures. Cinq mois après l'apparition en Chine de cette maladie qui a fait plus de 320.000 morts dans le monde, le Brésil est devenu le troisième pays au monde en nombre de contaminations. Et il a enregistré mardi un bilan quotidien de 1.179 décès, selon le ministère de la Santé. Cette progression a porté le total des morts à 17.971 au Brésil, qui déplore plus de la moitié des plus de 30.000 décès enregistrés en Amérique latine et dans Caraïbes.
De nombreux experts considèrent les chiffres ministériels très largement sous-estimés: le Brésil manque cruellement de tests. D'autres pays d'Amérique latine enregistrent eux aussi de fortes progressions du Covid-19. C'est le cas du Chili, 18 millions d'habitants, qui a connu mardi sa plus forte hausse de contaminations (3.520) et de décès (31) en 24 heures. "Nous sommes dans un moment très complexe, très difficile", a déclaré le ministre de la Santé Jaime Mañalich. L'armée s'est déployée dans des quartiers pauvres de Santiago, où la population s'est affrontée avec la police pour réclamer des aides contre la faim.
Le Nicaragua, 6 millions d'habitants, a lui aussi enregistré une forte augmentation des infections, avec 254 cas, soit 10 fois plus qu'il y a une semaine, et 17 décès, a annoncé mardi la ministre de la Santé, Martha Reyes. Là encore, les chiffres officiels sont bien loin de ceux d'ONG qui font état de plus d'un millier de contaminations. En Colombie, le confinement général imposé depuis deux mois est prolongé jusqu'au 31 mai et l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 31 août.
Dans cet article on parle de sous-diagnostiques et de négligences des réformes sanitaires.Les anglais n'avaient pas voulu confiner à temps. Leurs hôpitaux ont donc été surchargés et certaines personnes âgées ayant besoin de soins urgents sont sans doute décédées. Cela n'expliquerait en rien la surmortalité énorme au Royaume-Uni.![]()
De là l'utilité du confinement ne vous déplaise !
Les complications thromboemboliques sont fréquentes en réanimation médicale (c'est-à-dire hors interventions chirurgicales, post-partum et traumatologie), pour plusieurs raisons : patients immobilisés, multiplicité des techniques invasives, inflammation, surinfection.. en plus de l'affection qui a justifié l'admission ; il faudrait donc déterminer si la maladie initiale joue un rôle spécifique dans la physiopathologie thrombogène.julien99 a écrit : ↑19 mai 2020, 15:38 Voici une étude se rapportant à l'épidémie influenza de 1969-70 dans laquelle on détermine - suite aux autopsies - que la moitié des victimes ont subi des embolies :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/5513647/
Un résumé également en anglais
https://www.thieme-connect.com/products ... 28-1108874
Et une seconde étude de 2006 sur le lien entre une infection sévère et les thromboses :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16581406/
Rassurez-vous, le souci est constant dans la communauté médicale ; la suspicion d'embolie pulmonaire est d'ailleurs l'un des diagnostics immédiatement évoqués en cas d'incident soudain, par exemple la désadaptation au respirateur lors de la ventilation mécanique.
Nuance d’importance : je dis que les complications thromboemboliques sont fréquentes en réanimation, mais qu'il existe aussi des affections qui provoquent directement le mécanisme physiopathologique, et c'est très probablement le cas de la CoviD-19 (c'est mmoi qui souligne) :
Cette source a écrit :De manière générale, le risque thrombotique est accru chez les patients admis en soins intensifs et souffrant d’infections sévères. Mais il semblerait que le COVID-19 contribue de façon plus spécifique encore à ce risque par des lésions de l’endothélium, des thromboses microvasculaires ou encore par des mécanismes d’auto-immunité (2).
Sur son blogue, Marc Gozlan a écrit :Une chose est sûre : « la fréquence des thromboses veineuses et de l’embolie pulmonaire chez les patients Covid-19 est beaucoup plus élevée que ce à quoi on pourrait s’attendre dans une population de patients présentant une infection respiratoire, même sévère », déclare Philippe Gabriel Steg, chef du service de cardiologie de l’hôpital Bichat (Paris). Et d’ajouter : « on n’observe notamment pas une prévalence aussi élevée d’embolie pulmonaire dans les syndromes de détresse respiratoire aiguë liés à la grippe ».
Les autopsies de 1969-1970 sont malheureusement pas très nombreuses, mais dénotent un cas sur deux tout de même.Sur son blogue, Marc Gozlan a écrit :Une chose est sûre : « la fréquence des thromboses veineuses et de l’embolie pulmonaire chez les patients Covid-19 est beaucoup plus élevée que ce à quoi on pourrait s’attendre dans une population de patients présentant une infection respiratoire, même sévère », déclare Philippe Gabriel Steg, chef du service de cardiologie de l’hôpital Bichat (Paris). Et d’ajouter : « on n’observe notamment pas une prévalence aussi élevée d’embolie pulmonaire dans les syndromes de détresse respiratoire aiguë liés à la grippe ».
J'avoue ne pas bien comprendre votre question ; ce qu'il y a de très probable; c'est que le virus SARS-CoV-2 possède un tropisme plus large que celui initialement mis en évidence (à savoir l'épithélium respiratoire, mise en évidence dans cet article du 24 janvier 2020 ).julien99 a écrit : ↑20 mai 2020, 14:28 Les autopsies de 1969-1970 sont malheureusement pas très nombreuses, mais dénotent un cas sur deux tout de même.
Voudriez-vous écarter l’hypothèse que cette prévalence élevée puisse être directement liée à la virulence du virus (gravité d'infection) quelque soit le type ?
Information intéressante, à connaitre.miraye a écrit : ↑19 mai 2020, 18:48
Mais les gouvernements ne prennent pas leurs décisions qu'a partir d'une seule variable : nombre de morts.
Par exemple pour la France une vie est estimée à 3 millions.
Après une recherche rapide je n'ai trouvé que cet article accessible qui explique un peu
https://www.liberation.fr/france/2016/0 ... ce_1476348
En France, sans comparaison oui, mais dans l'autre sens vu de ma fenêtre: les experts tablaient sur 60 000 morts sans confinement, il faudrait ratisser large pour trouver les 30 000 qui manquent donc à l'heure actuelle (chiffres obtenus au doigt mouillé, je te l'accorde).
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