Lorsque nous développons une pensée, une réflexion, nous considérons plusieurs points, des jugements de valeur, des connaissances, etc. La réflexion finale est une démocratie où une majorité d'éléments domineront. Ainsi, serait-il raisonnable d'affirmer que le meilleur modèle de société serait justement la démocratie puisqu'elle reflète le processus de nos pensées?
Je ne sais pas ce que cela donnerait, mais basé un modèle social démocratique sur le fonctionnement de la pensée, de la réflexion.
Parce que je pensais justement à la façon que je pense dans mon labo coco. Et pourquoi il m'est difficile d'avoir une réflexion mieux conscientisée sans l'écrire.
La réflexion est démocratique
- DictionnairErroné
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La réflexion est démocratique
La connaissance: Un idiot qui sait qu'il est idiot est bien moins idiot qu'un idiot qui ne sait pas qu'il est idiot.
Re: La réflexion est démocratique
Une démocratie où les médias rapporteraient tous les faits sans "filtrage politique" et reflèteraient la diversités des opinions ... oui!DictionnairErroné a écrit : ↑27 janv. 2022, 11:53 Lorsque nous développons une pensée, une réflexion, nous considérons plusieurs points, des jugements de valeur, des connaissances, etc. La réflexion finale est une démocratie où une majorité d'éléments domineront. Ainsi, serait-il raisonnable d'affirmer que le meilleur modèle de société serait justement la démocratie puisqu'elle reflète le processus de nos pensées?
« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. » George Orwell
Re: La réflexion est démocratique
Ah !
La réflexion devient « démocratique « qu’à certaines conditions explorées avec plus ou moins de réussite. En manière de méthodes l’on peut citer celle des F.M. particulièrement rigoureuse en ce qui relève de la retenue du verbe.
La réflexion devient « démocratique « qu’à certaines conditions explorées avec plus ou moins de réussite. En manière de méthodes l’on peut citer celle des F.M. particulièrement rigoureuse en ce qui relève de la retenue du verbe.
Re: La réflexion est démocratique
Vite fait, peut-être faut-il songer que la démocratie n'est qu'une obligation de moyens : le pouvoir au peuple. Donner du pouvoir au peuple est toujours aisé (ex. celui d'élire ses représentants ou ses dirigeants ou ses décideurs...).
Là où le jeux est plus difficile, c'est de rendre l'équilibre des pouvoirs favorables au peuple...
D'un seul coup, le problème de connaitre les besoins, les aspirations etc. du peuple en question devient important.
Il faut que le peuple s'exprime librement et que ce qu'il exprime ne se perde pas, ne se corrompe pas, soit pesé, classé, évalué et commué en actes...
Et bien entendu, il faut qu'il ait la faculté de s'exprimer, la connaissance des tenants et aboutissants, la compétence pour les interpréter...
La réflexion ? Oui, bien sûr... Mais ne nous arrive-t-il pas tous de ne pas pouvoir réfléchir à un problème au-delà d'une boucle très courte et très restreinte ?
Qui est au pouvoir et comment il y est arrivé peut être une question très secondaire.
Aujourd'hui, je pense qu'on a des moyens qui, mis au service d'un tel objectif, pourrait faire progresser la démocratie.
Il faudrait ne pas en avoir peur. Ne pas renoncer à lorgner vers les idées nouvelles, ou vers les expériences passées jamais abouties.
Là où le jeux est plus difficile, c'est de rendre l'équilibre des pouvoirs favorables au peuple...
D'un seul coup, le problème de connaitre les besoins, les aspirations etc. du peuple en question devient important.
Il faut que le peuple s'exprime librement et que ce qu'il exprime ne se perde pas, ne se corrompe pas, soit pesé, classé, évalué et commué en actes...
Et bien entendu, il faut qu'il ait la faculté de s'exprimer, la connaissance des tenants et aboutissants, la compétence pour les interpréter...
La réflexion ? Oui, bien sûr... Mais ne nous arrive-t-il pas tous de ne pas pouvoir réfléchir à un problème au-delà d'une boucle très courte et très restreinte ?
Qui est au pouvoir et comment il y est arrivé peut être une question très secondaire.
Aujourd'hui, je pense qu'on a des moyens qui, mis au service d'un tel objectif, pourrait faire progresser la démocratie.
Il faudrait ne pas en avoir peur. Ne pas renoncer à lorgner vers les idées nouvelles, ou vers les expériences passées jamais abouties.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
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