Touché !DictionnairErroné a écrit : ↑05 août 2020, 09:54
Ou plutôt vous en donnez un mauvais par rebond. Je ne sais pas, seulement vous pouvez répondre au pourquoi, mais il existe effectivement un pattern de vous dénigrez du moins par rapport à l'intelligence. Est-ce la même chose en d'autres domaines, par exemple, je conduis mal, je ne sais pas faire à manger, je suis inutile, je travaille mal, etc...?
« Madame, attachez votre ceinture, la montagne-russe de la réflexion démarre dans 3-2-1 »

Merci!
Je ne comprends pas la question. Domaine professionnel ? Domaine d'activité ? Si c'est professionnel alors je n'en ai pas. En fait je crois que j'aurais préféré certains domaines si les choses s'étaient présentées différemment sauf que n'ayant pas exercé ces professions, je ne pourrais pas dire avec certitude. Si c'est au niveau activité, il y en a deux qui sont récurrentes. Les jeux vidéos et la création/fabrication. Comme en ce moment, je suis complètement passionnée par le forgeage de lames. Je n'aime pas nécessairement les armes, c'est tout le procédé qui me fascine et l'esthétisme final. Les différentes techniques, les différents aciers (et les différentes manières de les travailler), les différents matériaux pour les manches et plus. Je donnerais cher (si j'avais cher en mainsQuels sont vos domaines préférés

Sans hésitation: mon intégrité (même s'il m'arrive aussi de la détester car elle me met parfois dans des situations sociales très délicates que je ne sais pas gérer). Mon sens de l'humour presque aussi expansible que l'univers.qu'est-ce que vous aimez de vous-même?
J'ai parfaitement conscience que certaines limites sont très mal définies dans ma tête. Soit c'est blanc, soit c'est noir. Ce genre de réponse dessine une ligne grise bien visible entre l’auto-dénigrement et l'autosuffisance (ce ne sont pas les deux bons mots, ce sont toutefois deux extrêmes qui peuvent servir à imager). Merci. Comme dit dans mon premier message, ce n'est qu'ici que j'arrive à relativiser certaines choses. En voilà une autre sur la liste. Pour revenir sur l'amour des mots et de leurs sens, c'est tout à fait ça. Chaque mot a sa propre définition et utilité. Même au niveau des synonymes. Quand le bon mot est au bon endroit, c'est un pur délice ! C'est aussi cet amour des mots, de leur orthographe (même si je fais des fautes) et leur sens qui me fait fuir les réseaux sociaux comme la peste. Ses/ces/c'est/sait, ne veulent pas dire la même chose hein ! Sinon ça fait saigner les yeux.Ne le prenez pas uniquement comme un compliment lorsqu'on vous dit que vous aimez les mots, leurs sens, que votre écrit est fluide, votre capacité d'introspection, prenez le comme un fait de qui vous êtes. Ce n'est pas un "péché" (culpabilité par exemple) de l'apprécier, c'est même normal, la valorisation entraîne la confiance en soi et l'estime de soi, c'est normal, ce n'est pas un péché.
Dash parlait de sagesse plus tôt dans cette enfilade, je trouve cette partie de votre message d'une grande sagesse. Vous lâchez prise sur les passages incompréhensibles afin de poursuivre l'avancement. Vous ne vous imposez pas de freinages sauf si ça vous tente vraiment (de ce que j'ai compris). Comment en êtes-vous arrivé là ? Seriez-vous en mesure d'expliquer le cheminement ? Ou ça fait simplement partie de votre personnalité à la base ?Dans la vie courante c'est différent, je lis encore beaucoup, mais j'ai réalisé que ça ne doit plus être pour m'instruire, mais pour le plaisir du moment, si je ne comprends pas un passage, je peux peut-être pendre une pose pour y réfléchir et faire un voyage exploratoire qui n'a même plus rapport avec le passage, c'est plaisant, mais je ne m'arrête pas là, je poursuis à l'autre passage que je vais comprendre, je ne m'attends pas à tout comprendre, ce n'est pas nécessaire. Oui, il restera toujours de brides ici par là, j'ai toujours le dictionnaire (maintenant internet) pour me rafraîchir la mémoire de la définition des mots que j'utilise peu. On ne recommence jamais à zéro, c'est tout de même là enfoui quelque part.
Dans la portion de votre message concernant l'école, je me retrouve dans vos écrits. Le par cœur (tout comme vous) et les dates étaient un vrai calvaire (les dates le sont encore d'ailleurs, ce qui est désagréable quand on oublie de noter un anniversaire ou un rendez-vous par exemple). Toutefois, aucun problème pour les séries de chiffres (N.A.S. / # de carte « x » / # de ci ou de ça). Comme dans mon dernier emploi où je voyais défiler tous ces numéros dans les dossiers et que je faisais vraiment tout pour me forcer à les oublier ! Ce qui n'était pas facile car il m'arrivait de devoir réécrire plusieurs fois ces mêmes numéros.. J'ai aussi eu de la difficulté en mathématique. Sauf quand on a abordé l'algèbre. Là aussi c'était un pur délice (attention hein, eussé-je dépassé le secondaire 3 que je n'aurais peut-être pas tenu le même discours (bonne conjugaison?)). L'algèbre me faisait penser à des énigmes chiffrées.On s'en souvient selon notre capacité à s'en souvenir. Les cours d'histoires, de géographies étaient vraiment pénibles pour moi, c'est du par coeur, je m'affolais à chaque examen. J'adorais les mathématiques, mais avec l'évolution des cours, les formules devenaient de plus en plus longues et plus nombreuses, du par coeur encore une fois, aux examens c'étaient le bordel! Votre mémoire doit être à la hauteur du domaine que vous voulez étudier, dans mon cas, oubliez la philo, l'histoire, par exemple.