À «Ta démonstration est basée sur un postulat» tu me réponds ceci :
thewild a écrit : ↑30 janv. 2019, 14:31
Pas un mais deux postulats.
Bien entendue, voir le lien vers ton texte dans mon message précédent à ton encontre. On y lit bien que tu parlais de 2 postulats. Tu fais bien de le préciser au cas où ou pour un lecteur inattentif.
J’ai parlé d’un postulat, car c’est de celui en particulier que j’ai traité avec toi et à lequel tu as réagi.
thewild a écrit : ↑30 janv. 2019, 14:31
Lequel tentes-tu d'infirmer ?
Petit rappel :
<curieux : La raison est que les lois de la physique sont les mêmes quand elles sont mesurées depuis n'importe quel référentiel inertiel.
>
<<souris : C'est ce qui est constaté pour les vitesses beaucoup plus petite que c mais cela ne prouve pas que c'est vrai pour des vitesses approchant celle de la lumière.
>>
<<< thewild : C'est un postulat.
>>>
Tu as oublié de quel postulat je parlais ? C’est de celui apporté par curieux.
thewild a écrit : ↑30 janv. 2019, 14:31
Pourquoi ?
Par curiosité, pour comprendre.
Voici ce qui a allumé ma curiosité, il y a bien longtemps.
Dans le livre aux éditions du seuil de Banesh Hoffman (a travaillé avec Einstein sur la théorie de la relativité), dont le titre est
Albert Einstein créateur et rebelle, j’y ai remarqué 1 point qui ne me semble pas justifié.
À la page 86 on y lit ceci : « A envoie un éclair de lumière de a1 vers a2, où il est immédiatement reflété vers a1. La lumière quitte a1 au moment où les aiguilles de a1 indiquent midi; et lorsqu’elle atteint a2, les aiguilles de a2 indiquent midi trois.
Mais on ne peut en conclure avec certitude que la lumière a mis trois minutes pour se rendre de a1 à a2 : les ouvriers qui ont installé les horloges ont pu par exemple bouger les aiguilles par inadvertance. Comment synchroniser a2 avec a1 ? Considérons le trajet aller et retour. Supposons que les aiguilles de a1 indiquent midi lorsque la lumière quitte a1, que lorsqu’elle atteint a2 les aiguilles de cette dernière horloge indiquent midi trois, et que lorsqu’elle est de retour en a1, les aiguilles de a1 indiquent midi quatre. Nous soupçonnons immédiatement qu’il y a quelque chose qui ne va pas. A en croire les horloges, en effet, la lumière aurait mis trois minutes pour faire le trajet a1-a2, mais seulement une minute pour le trajet en sens inverse a2-a1.
Faisons alors ce qui s’impose : retardons d’une minute les aiguilles de a2. Maintenant, en recommençant l’expérience, les horloges indiqueront que la lumière a mis deux minutes pour aller de a1 à a2, et le même temps pour le retour. Puisque, nous l’avons vu, nous postulons une vitesse de la lumière égale à c dans les deux directions,
nous pouvons penser avec Einstein que les aiguilles des horloges a1 et a2 sont maintenant réglées de telle façon que les horloges sont synchronisées. Et si, quelque temps après, un évènement se produit en a1 lorsque ses aiguilles indiquent 14h30, et un autre évènement en a2 lorsque les aiguilles de a2 indiquent aussi 14h30, nous pouvons penser avec Einstein que les deux évènements distincts se sont produits simultanément. »
Toute cette explication est justifiée sur une supposée erreur de manipulation. Les temps indiqués sur les deux horloges pourraient être correcte et ainsi on détecterait réellement que le mobile avance. Mais à cause du premier postulat on n’accepte pas ce résultat et on crée de toute pièce une définition de synchronicité qui va permettre de garder valide le postulat. De plus on a manipulé l’heure d’une horloge afin de garder vrai ce postulat.
De là mon idée d’éliminer l’erreur tout à fait improbable de manipulation en partant à 0 les deux horloges de la façon que j’ai décrite. Il n’y aurait donc plus besoin de manipuler l’heure d’une horloge et on n’aurait plus besoin d’utiliser la définition de synchronicité qui est nécessaire à la relativité.
thewild a écrit : ↑30 janv. 2019, 14:31
Crois-tu que la RR est fausse ?
Je ne sais pas répondre à cette question. Je pense qu’il y a une partie qui n’est qu’une illusion. Je constate qu’elle est basée sur des points questionnables et qu’il y a une partie qui dépend de la définition que l’on donne au mot « synchronicité ». De là mon intérêt à creuser ce que richard a à dire sur le sujet. Car, j’ai l’impression que vous ne parlez pas de la même chose de la même manière que je constate que vous ne parlez pas de la même chose que moi.
Je déplore la non collaboration de richard à comprendre mes questions. Car, cela ne me permet pas de trouver quel mot a une définition différente pour lui et pour vous.